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Camille GRANDJEAN-JOYEUX, qui était mon arrière grand-père!

6 juin 2016, Aucun commentaire

Chronologie de sa vie




Que sont devenus les deux frères de Rodolphe QUANTIN? 2/2

6 mars 2016, Aucun commentaire


et le deuxième frère de Rodolphe,  Jean "Albert", est né dans le début de l'année 1878 à Lignières. Il était lui coiffeur, il débute sa carrière, à Lignières à l'âge de 13 ans!

Il quitte le Berry, pour la Nièvre. Son oncle paternel Louis, habitait à Nevers, comme boulanger. Au printemps 1901, Albert s'unit à Jeanne.

Le 20 septembre 1902 naît Jeanne. La famille demeure au 14 rue de Nièvre à Nevers.

En 1906, le salon fonctionnait bien, Albert à deux pensionnaires: Louis TERROT de Dun sur Auron et Edouard MOREAU de La Fermeté, pour l'aider.

En 1914, Albert est rappelé sous les drapeaux, et sera intégré au 64ème régiment d'Infanterie, avec l'uniforme de l'époque, sur la photo.



Après la première guerre, Albert retourne chez lui, où petit à petit tout redevient comme avant, les hommes reconstruits ce que les combats ont détruits. Juste après la guerre Albert aura un fils Jean.

 Albert heureux avec ses deux enfants devant son salon de coiffure. Jean QUANTIN a pris la relève de son père à Nevers d'abord, puis il part pour le département de Eure à Vernon.

En 1939, ma grand-tante Maria QUANTIN et sa fille Geneviève  se sont réfugiée chez eux, en quittant Paris pour Menilles, avant de retrouver le Berry, à Orval! Après la guerre, le métier dans la coiffure continu à Maule dans les Yvelines, Jeanne et Jean n'auront pas d'enfants! A la retraite de Jeanne, ils voulaient construire un pavillon, mais n'ayant pas pu vendre leur commerce à Maule. Jeanne QUANTIN est décédé dans cette ville à l'hôpital et Jean QUANTIN à Mantes!

(merci à Geneviève pour tous ces photos et ces souvenirs, hâte de vous rencontrez!)

Que sont devenus les deux frères de Rodolphe QUANTIN? 1/2

5 mars 2016, Aucun commentaire

- Jean "Eugène" QUANTIN, l'aîné, né à Lignières, trois ans avant Rodolphe. Il grandit dans le Berry, il s'engage dans l'armée où il partira quelques jours après son arrivée en Tunisie d'avril 1891 à avril 1895. A son retour en France je retrouve sa trace, comme boulanger au Châtelet en automne 1895 et y prendra épouse une fille PIGEAT en 1896. En octobre 1903, il demeure au 28 rue quai de Loire à Nevers dans la Nièvre. En été 1905, Jean Habite dans la rue des victoires à St Amand Montrond dans le Cher, son frère Rodolphe, Marie et ses trois filles, arriveront quelques temps après. Mais cinq ans après Il part pour la capitale en 1910 au 1 rue Molitor à Paris 16ème, au 28 rue du faubourg St Jacques dans le 14ème l'année d'après et à l'Observatoire de Paris en juillet 1912!

Rappelé en août 1914 pour la guerre contre l'Allemagne et libéré de ses obligations militaire en novembre 1918.

Et ensuite .....?

La famille

22 janv. 2016, 2 commentaires



Grands-Oncles et Tantes                            

 

COSMEUR Yvonne  †  (Côté Paternel)                              

COSMEUR Louis   †  (Côté Paternel)                                                                    

GRANDJEAN-JOYEUX Roger   †  (Côté Paternel)                                              

GRANDJEAN-JOYEUX Odette   (Côté Paternel)                                                

MINISTROT Georges   †  (Côté Maternel)                                                          

MINISTROT Suzanne   (Côté Maternel)                                                               

QUANTIN Alice   †  (Côté Paternel)                                                                   

QUANTIN Maria   †  (Côté Paternel)                                       

QUANTIN Albertine   †  (Côté Paternel)                                

LABROSSE Albertine   †  (Côté Maternel)                                

LABROSSE Irénée   ?  (Côté Maternel)                                    

LABROSSE Albert  †  (Côté Maternel)                                

 

Oncles et Tantes

 

 

LABROSSE Jacky   †  (Côté Maternel)                                                              

LABROSSE Robert  †  (Côté Maternel)                                                         

LABROSSE Jeannine   Côté Maternel                         

LABROSSE André   †  (Côté Maternel)                                                             

LABROSSE Christian   Côté Maternel                         

LABROSSE Odette   Côté Maternel                            

QUANTIN Rémy   Côté Paternel                               

QUANTIN Annie   Côté Paternel

QUANTIN Paulette   Côté Paternel

QUANTIN Claudine   Côté Paternel

QUANTIN Roger   †  (Côté Paternel)                                                              

QUANTIN Michel   Côté Paternel

QUANTIN Alain   Côté Paternel

QUANTIN Jean-Claude   Côté Paterne 

QUANTIN Christian   Côté Paternel

QUANTIN Jean-Pierre   Côté Paternel

 

Cousins et cousines (germains ou issus)

 

ALAPHILIPPE Christophe   Côté Maternel LABROSSE (Germain)  

ALAPHILIPPE Freddy   Côté Maternel LABROSSE (Germain)

DENISART Elodie   Côté Paternel QUANTIN (Germain)

DENISART Sybille   Côté Paternel QUANTIN (Germain)

GRANDJEAN-JOYEUX Jonathan   Côté Paternel GRANDJEAN-JOYEUX (Issu)

GRANDJEAN-JOYEUX Laetitia   Côté Paternel GRANDJEAN-JOYEUX (Issu)

JACOBUCCI Betty   Côté Paternel GRANDJEAN-JOYEUX (Issu)

JACOBUCCI Freddy   Côté Paternel GRANDJEAN-JOYEUX (Issu)

JACOBUCCI Kenny   Côté Paternel GRANDJEAN-JOYEUX (Issu)

KAUFFMAN Bertrand   Côté Paternel GRANDJEAN-JOYEUX (Issu)

KAUFFMAN Emmanuel (Prêtre)   Côté Paternel GRANDJEAN-JOYEUX (Issu)

KAUFFMAN Lionel   Côté Paternel GRANDJEAN-JOYEUX (Issu)

KAUFFMAN Marjorie   Côté Paternel GRANDJEAN-JOYEUX (Issu)

KAUFFMAN Philippe   Côté Paternel GRANDJEAN-JOYEUX (Issu)

MALIFARGE ? Côté Paternel QUANTIN (Issu)

MALLET Frédéric   Côté Maternel LABROSSE (Germain)

MALLET Angélique   Côté Maternel LABROSSE (Germain)

MALLET Stéphanie   Côté Maternel LABROSSE (Germain)

MALLET Angélique   Côté Maternel LABROSSE (Germain)

MARTINAT Cyril   Côté Paternel QUANTIN (Germain)

DELAGE Sabrina   Côté Paternel QUANTIN (Germain)

GIMENES Brenda   Côté Paternel QUANTIN (Germain)

GIMENES David   Côté Paternel QUANTIN (Germain)

GIMENES Diana   Côté Paternel QUANTIN (Germain)

GIMENES Jason   Côté Paternel QUANTIN (Germain)

GIMENES John   Côté Paternel QUANTIN (Germain)

GIMENES Laura   Côté Paternel QUANTIN (Germain)

GIMENES Mikaël   Côté Paternel QUANTIN (Germain)

GIMENES Vanessa   Côté Paternel QUANTIN (Germain)

VIARD Michaël   Côté Paternel QUANTIN (Germain)

VIARD Sébastien   Côté Paternel QUANTIN (Germain)

LEMAN Jimmy   Côté Paternel QUANTIN (Germain)

LEMAN John   Côté Paternel QUANTIN (Germain)

LEMAN Manouska   Côté Paternel QUANTIN (Germain)

LEMAN Natacha   Côté Paternel QUANTIN (Germain)

LEMAN Sandra   Côté Paternel QUANTIN (Germain)

QUANTIN Sonia   Côté Paternel QUANTIN (Germain)

QUANTIN Mickaël (fils de J-Claude)   Côté Paternel QUANTIN (Germain)

QUANTIN Anaïs   Côté Paternel QUANTIN (Germain)

QUANTIN Jimmy   Côté Paternel QUANTIN (Germain)

QUANTIN Nicole   Côté Paternel QUANTIN (Germain)

QUANTIN Yannick   Côté Paternel QUANTIN (Germain)

RIFAUD Thomas   Côté Paternel QUANTIN (Germain)

SANTENS Juliette   Côté Paternel GRANDJEAN-JOYEUX (Issu)

SANTENS Loïse   Côté Paternel GRANDJEAN-JOYEUX (Issu)

SANTENS Jimmy   Côté Paternel GRANDJEAN-JOYEUX (Issu)

SANTENS Thomas   Côté Paternel GRANDJEAN-JOYEUX (Issu)

SANTENS Jérémy   Côté Paternel GRANDJEAN-JOYEUX (Issu)

TURPIN Sylvie   Côté Paternel GRANDJEAN-JOYEUX (Issu)

TURPIN Laurence   Côté Paternel GRANDJEAN-JOYEUX (Issu)

TURPIN Véronique   Côté Paternel GRANDJEAN-JOYEUX (Issu)

TURPIN Elodie   Côté Paternel GRANDJEAN-JOYEUX (Issu)

 

Rodolphe QUANTIN (suite )

11 janv. 2016, Aucun commentaire
Voilà mes premiers obstacles en généalogie ont commencés, à la recherche de sa date de naissance, mais surtout de savoir où il était né. Et oui! dans la ville de Lignières, j'y habite depuis 38 ans. 

J'ai eue encore plus de mal pour son décès. Sa date de décès trouvée puisqu'il est décédé à l'hôpital de St Amand Montrond (18) en 1944. Mais où repose mon arrière grand-père paternel! Certains disent à Orval, réponse négative par téléphone, d'autres à Bouzais, mais toujours rien. Que se soit dans la commune du lieu de naissance, du décès où lieu d'habitation, 

c'est réponse négative!!!

Heureusement qu'une des filles de Maria QUANTIN, la fille de Rodolphe m'a jointe pour me dire qu'elle avait en sa possession les documents du décès, et qu'il reposait bien à Orval. AUGONNET Rose , sa deuxième épouse repose à Bouzais où se trouvait également une seconde place pour son époux. Malgré la guerre, la famille a fait de leur mieux.

REPOSE EN PAIX grand-papy !



Son suivi militaire (Rodolphe QUANTIN)

31 déc. 2015, 1 commentaire

La 1ère guerre mondiale (1914-1918):

 Le 2 août 1914: Rappelé à l'activité par ordre de mobilisation générale

Le 3 août 1914: Arrivé à la caserne de Bourges

Le 31 octobre 1915: Rodolphe passe au 60ème Régiment territorial d'infanterie, pendant une durée de 15 mois, et sous les ordre du Lieutenant-Colonel BOURGEOIS.

[...] Voici l'année 1916, la grande ruée allemande sur Verdun; en forêt de Parroy, le 60ème R.I.T. continue la lutte d'usure, tenace, énervante, le moral reste intact, la confiance en la victoire finale demeure inébranlable. [...]

Le 1 février 1917: Il passe au 119ème régiment territorial d'infanterie, pendant un peu plus de 5 mois.

Le 11 juillet 1917: Il passe au 139ème régiment territorial d'infanterie, il y est reste 16 mois.

Le 139e a pour mission de s’emparer de la côte 304. L’attaque se déclenche le 20 août 1917; les mouvements des bataillons se font sous de violents tirs de barrage ; le débordement de la côte 304 n’ayant pu être complètement réalisé, l’attaque reprend le 24 août: le 1er bataillon, commandant RUNACHER, s’empare de l’ouvrage du Peyrou, palgré le bombardement d’une estrême violence par obus ordinaire et par obus toxiques : des reconnaissances dépassent même largement les objectifs et poussent jusqu’au village de Haucourt.

Février, mars et avril 1918, le régiment tient le secteur de Bezonvaux ; c’est une période d’occupation longue et pénible. Les coups de mains ennemis à peu près quotidiens imposent une vigilance soutenue ; le 139e en reçoit plusieurs qui sont arrêtés net par le déclenchement immédiat de feux nourris.

En dépit des conditions matérielles très mauvaises, le Régiment entend prouver une fois de plus qu’on n’aborde pas impunément son secteur.

Le Lieutenant-Colonel CERTAIN, en quittant le 139e R. I. pouvait en faire ce brillant éloge :

« Grâce à vous, pendant les 18 mois où j’ai eu le grand honneur de le commander et particulièrement sur la Somme, à St-Quentin et autour de Verdun, le Régiment, par son courage, sa ténacité et son esprit de discipline, s’est classé parmi les plus solides de l’Armée française et a même mérité la haute distinctiont il a été l’objet »

Le Lieutenant-Colonel ADAM prend le Commandement du Régiment le 21 mai 1918.

Nous en sommes aux heures critiques de 1918.

Avec des forces supérieures l’ennemi poursuit son offensive foudroyante ; il avance chaque jour d’une quinzaine de kilomètres.

Débarqué en pleine bataille, le 139e arrête net l’avance ennemie, infligeant à 2 Divisions de la Garde, l’élite de nos adversaires, des pertes sérieuses : telle est la conclusion brutale et suffisamment éloquente des durs combats autour de la Ferté-Milon du 31 mai au 6 juin.

  Il s’agit d’interdire l’infiltration de l’ennemi remontant l’Ourcq et de s’opposer à tout prix à une avance sur la Ferté-Milon. Les bataillons jetés dans la bataille aussitôt débarqués, sur un front mobile où les surprises ne manquent pas, participent également au redoublement de l’ennemi.

En septembre 1918, le Régiment participe à l’action offensive de l’armée américaine pour la réduction  de saillant de St-Mihiel.

  Cette opération menée avec : beaucoup de calme et de sang-froid et dans le plus grand ordre, réussit pleinement. L’ennemi durement malmené sur chaque face du saillant se replie précipitamment : le 139e est le premier régiment qui entre dans Saint-Mihiel, après quatre longues années d’occupation ; les malheureux habitants se portent au devant de nos soldats avant même que les derniers Allemands aient quitté la ville.

Continuant à coopérer avec l’armée américaine, le 139e R. I. termine la guerre dans le secteur de Verdun par la prise de Beaumant, du bois Fays et du bois de la Wavrille.

Le 17 novembre 1918: Il passe au 5ème régiment du génie jusqu'au 31 décembre 1918, afin de reconstruire les chemins de fer après l'armistice

 

Décorations:

Mon arrière grand père Rodolphe est devenu Caporal le 10 octobre 1918


La vie de Rodolphe

31 déc. 2015, Aucun commentaire



Rodolphe est mon arrière grand-père paternel, 

Le 24 mars 1875 - Pierre QUANTIN et sa femme Marie DESBOIS donnent naissance à leur deuxième enfant, Rodolphe, Pierre, Eugène. La déclaration se fut le 26 mars, par devant monsieur PERCHERON Hilaire, le maire de Lignières-en-Berry.

Rodolphe a grandi à Lignières, il devient farinier au moulin, près de l'Eglise, appartenant à Monsieur Michelet.


En 1895 - son inscription au service militaire 

Le 11 août 1900 - son mariage  avec PERRAULT Marie de Lignières, mais originaire de Morlac.

En ce jour de printemps 1901, nait la première de leurs trois filles: Ils habitent 15 route d'Issoudun.

     QUANTIN Alice Marie, le 21 mai 1901, elle restera dans le berry en épousant le 7 avril 1923, Eugène VIRMOUX et ont eus 2 enfants André et Jean. Elle décèdera le 19 janvier 1960 à Orval à seulement 59ans. Elle repose avec son mari et Jean son fils.

     QUANTIN Maria, née le 30 septembre 1902 et épousera le 5 février 1927, Eugène CORNE, ingénieur, à Paris 17ème. Deux filles naîtront Geneviève et Claude. Maria partira le 25 avril 1983 à Paris 15ème à l'âge de 81ans.

     QUANTIN Albertine, née le 2 septembre 1905 donc à Lignières et elle aussi partira se marier le 27 mars 1930 à Paris 15ème à MONIOTTE Pierre, maréchal des Logis au 25ème bataillon d'ouvriers d'artillerie. Ils auront trois enfants dans mes recherches: Michèle, Colette et René. Albertine décèdera à plus de 300km de Paris et de Lignières, à Chenôve en Côte d'Or, le 6 septembre 1987.

Le 26 décembre 1910 - Grâce au recensement de la population du Cher en ligne et de son dossier militaire, je le retrouve 20 rue des victoires et rue Bacchus à St Amand Montrond (18). Il est désormais journalier.

Le 16 août 1912 - Marie décède à l'hôpital de St Amand.

Le 3 août 1914 - Rappelé à l'activité par ordre de mobilisation générale du 2août 1914 et perd ses parents en 1916 et 1918. Il sort de cette guerre Caporal le 10 octobre 1918 et finira ce combat contre les Allemands le 31 décembre 1918

Il attendra que ces filles soit en age de se marier pour rencontrer Rose AUGONNET, cartonnière à usine THIOLAT Frères à St Amand Montrond à l'époque puis à Orval ensuite. Rose est originaire de la Roche à Bouzais, veuve également de COSMEUR Joseph, elle a deux enfants de ce premier mari.

 Le 29 avril 1922 - A 47ans, Rodolphe  s'unit à Bouzais (18)

Rodolphe et Rose quittent St Amand pour la Roche à Bouzais ou habitent ses parents Jean-Baptiste et Louise JAMET.

Le 10 octobre 1925 - La naissance à Bouzais de mon grand-père Claude

En 1930 - Je retrouve mon arrière grand-père serrurier et habite à Saint Georges sur Poisieux.

Mais le sort s'attaque en core sur lui. Rose est malade.

 Le 18 février 1937 - Le décès de Rose, mon arrière grand-mère,  elle repose dans le petit cimetière de Bouzais et désormais avec leur fils.

Je retrouve Rodolphe habitant dans ce petit village d'Arcomps, au lieu dit "les Boutillats".

Le 27 mars 1944 - Rodolphe décède à l'hôpital de Saint Amand Montrond. Mon grand-père est orphelin à 12 ans. Rodolphe repose à Orval dans le vieux cimetière.

AUGONNET Rose, épouse QUANTIN

31 déc. 2015, Aucun commentaire

Elle arrive au monde, le 20 mai 1882 à la Roche de Bouzais, petit village tranquille, au abord du Cher, entre St Amand Montrond et St Georges de Poisieux.

Ses parents Jean-Baptiste et Jamet Louise, part à Etampes dans l'Essonne, en région parisienne, peu après sa naissance. Son père était employé des chemins de fer.

Rose, enfant unique perd son père, alors qu'elle n'avait que 16 mois. Elles reviennent toutes les deux dans le Berry, à St Amand où sa mère se remarie en ce début d'été 1886. Je retrouve mon arrière grand-mère paternelle en temps que future épouse à Cosmeur Joseph Marie à Boulogne-Billancourt dans les Hauts de Seine, et était comme  profession: électricienne. Elle vit également chez sa mère et son beau-père au 1 avenue de la Reine.

Elle part vivre avec son mari à Issy-les-Moulineaux, où je retrouve par le bien des tables décennales de la ville, que 2 enfants sont nés: Yvonne Jeanne, le 29 mai 1908 et le demi-frère de mon grand-père tant cherché, Louis Joseph, le 21 novembre 1910.

Elle devient veuve en 1916 à cause de la guerre

Voici leurs adresses successives, selon le livret militaire de Joseph


Entre 1916 et 1922 elle revient définitivement dans le Cher où elle épouse Rodolphe QUANTIN à Bouzais le 29 avril 1922 et elle est cartonnière à Orval (18)

Les filles de Rodolphe et Marie PERRIAULT

31 déc. 2015, Aucun commentaire

Alice, Maria et Albertine nées QUANTIN, soeurs de mon grandpère, du premier mariage

 

Alice Marie l'ainée, née à Lignières le 21 mai 1901, elle restera dans le berry en épousant le 7 avril 1923, Eugène VIRMOUX et ont eus 2 enfants Jean et André. Elle décèdera le 19 janvier 1960 à Orval à seulement 59ans. Elle repose avec son mari et Jean son fils.

Maria la cadette, née à Lignières le 30 septembre 1902 et épousera le 5 février 1927, Eugène CORNE, ingénieur, à Paris 17ème. Ils auront deux filles Geneviève et Claude. Maria partira le 25 avril 1983 à Paris 15ème à l'âge de 81ans.


Albertine Lucienne la benjamine, née à Lignières le 2 septembre 1905 et elle aussi partira se marier le 27 mars 1930 à Paris 15ème à MONIOTTE Pierre, maréchal des Logis au 25ème bataillon d'ouvriers d'artillerie. Ils auront trois enfants dans mes recherches: René, Colette et Michèle. Albertine décèdera à plus de 300km de Paris et de Lignières, à Chenôve en Côte d'Or, le 6 septembre 1987.

Par le recensement de 1911, elles habitent avec leurs parents 20 rue des victoires à St Amand Montrond, donc elles fréquentaient les écoles St Amandois.

QUANTIN Jean, maître de bateau

31 déc. 2015, Aucun commentaire

Il est né le 23 septembre 1809 à St Martin de Court...
Jean est journalier et habite Vierzon quand il épouse, Louise BROSSIER à Vierzon-Village en 1844.
C'est dans cette ville que passe le canal du Berry .... Il trouve une place de marinier.

[...] " le marinier du Berry a été à Nantes, il a vu la mer; Il a descendu la Loire jusqu'à son embouchures. C'est un voyageur, c'est à dire un aventurier et un savant, un déluré en un mot suivant l'expression locale qui signifie un homme résolu et instruit. Il a donc vu du pays, les Pays-bas, comme on appelle en Berry, la Touraine et la Bretagne... Voilà qui explique sa supériorité sur le reste des habitants qui l'écoutent et le craignent comme un oracle."
Son costume était proche de celui des marins: "une blouse très courte, un pantalon très large, de petits souliers à boucles, de grands pendants d'oreilles enrichis d'ancres, et de câbles d'or, sous un chapeau ciré".
En 1848, on comptait encore 220 mariniers à Vierzon (tous des hommes), le nombre avait diminué néanmoins depuis plusieurs années à cause de la gêne créée par la construction du canal du Berry. [...] 
extrait du livre du Marinier sur le canal du Berry à Vierzon



Les vignes de St Amand Montrond et ses vignerons

31 déc. 2015, Aucun commentaire
Sous l'Ancien Régime, les paysans ont pour la plupart planté sur leur terre, une rangée de ceps qui leur assurent un peu de vin pour leur consommation personnelle. Mais quelques-uns, plus spécialisés, sont déjà mentionnés comme vignerons dans les registres paroissiaux.
Sur St Amand, plusieurs AUGONNET (patronyme de mon arrière grand-mère paternelle) étaient vigneron, mais également JAMET, VALLIGNY, VERNEUIL, PALLEAU, PERRAULT, PETITPIED, DOION à Colombiers.
Les vignes de St Amand Montrond
A la fin du XVIIème siècle, St Amand Montrond se présente sous deux villes, l'une très ancienne serrée autour de son château et de son Eglise; où vivent vignerons et manoeuvres. L'autre groupée autour de sa place de marché, plus bourgeoise, lieu de résidence des officiers, des pouvoirs municipaux et des marchands; où se trouvent vignerons, artisans, tel les potiers ou les tuiliers.
Les collines qui entourent St Amand Montrond étaient farouchement vineuses. Vers le milieu du XIXème siècle, la crise phylloxérique (1878-1886) attaque et détruit la totalité des vignobles du Centre-Loire. C'est ici qu'elle est a plus touché par ce fléau.

Durée du travail à la vigne en Berry
Dans les vignes au XVIème siècle, la durée du travail est de 18heures (5h à 18h) du 1er mars jusqu'au 1er octobre de l'année et pour la période du 1er octobre au 1er mars de l'année d'après, les vignerons travaillaient du levé du jour jusqu'à la nuit
La culture de la vigne y est très importante, de même que la culture de l'ail (St Amand Montrond s'est ainsi appelé pendant un temps St Amand l'Ailler).
Les travaux de la vigne
Pour la période d'hiver, la vigne demande également des soins. Le vigneron arrache les ceps morts ou fatigués par les années.
Au printemps, il plante avec soins les nouveaux sarments ayant faits des racines. Il faudra attendre 2 à 3ans pour que cette vigne jeune produise.
Les vendanges en septembre rassemblaient les bonnes volontés, la famille, les proches et aussi les journaliers qui travaillaient dans les vignes à la journée.


Le journal de Pierre QUANTIN

31 déc. 2015, Aucun commentaire
Le 7 juin 1845 - Jean QUANTIN et sa femme Magdeleine CHAPON donnent naissance à leur septième enfant, Pierre. La déclaration se fut le lendemain, par devant monsieur GUIGNARD Laurent, le maire de Mareuil-sur-Arnon dans le Cher.
Pierre a grandi à Mareuil. 
Le 27 février 1849 - il perd sa mère alors qu'il n'avait que 4ans et demi, mais trouve une belle-mère, 4 mois après pour l'élever.
En l'année 1861 - sur le recensement, Pierre est manoeuvre en maçonnerie à 15ans et son père est roulier. Toute la famille habite au 23 rue de Bourges à Mareuil-sur Arnon
En l'année 1866 - sur le recensement, Pierre se rapproche des chevaux comme son père qui devient voiturier, Pierre lui est à 20ans, charretier, toujours à Mareuil dans la Grande-Rue.
Le 12 février 1872 - son mariage avec DESBOIS Marie à Lignières
En ce jour d'automne 1872, nait le premier de leurs six enfants:
QUANTIN Jean Eugène, le 7 novembre 1872, il épousera au Châtelet le 4 août 1906, PIGEAT Eloïse Marguerite Marie.
QUANTIN Rodolphe, le 24 mars 1875 dont je descend
Les jumeaux QUANTIN Marie Louise et Jean Albert, nés le 27 janvier 1878. Mais Marie Louise décèdera quelques jours après. Jean Albert est coiffeur sur Lignières et grâce à son dossier militaire je le retrouve comme coiffeur à son compte sur Nevers dans la Nièvre. il épousera à Nevers le 14 avril 1901, HIPPOLYTE Louise.
QUANTIN Marie Louise Thérèse, le 8 février 1880 et décèdera trois jours après sa naissance.
QUANTIN Lucie, le 6 juillet 1884 et elle aussi partira à l'âge de 2 mois.
En l'année 1891 - sur le recensement, Pierre, sa femme et ses fils Albert et Rodolphe habitent au 20 rue des Tanneries (Jules Ferry actuellement donc en face du collège). Il est toujours Charretier
En l'année 1901 - sur le recensement, Seul avec sa femme au 12 rue des Tanneries. A 54ans, il est journalier chez monsieur Soulat
En l'année 1911 - sur le recensement au 16 rue Saint Blaise, il est noté que Pierre est charretier chez monsieur Merrier route d'Issoudun, un marchand de bois.


Le 22 novembre 1918 - La guerre arrive enfin à sa fin. Pierre décèdera 2ans après sa femme à Lignières.

BIRCKEL Jean

31 déc. 2015, Aucun commentaire
BIRCKEL Jean, mon AAAGP (côté Grandjean-Joyeux) Après la guerre de 1870 entre la France et l'Allemagne, l'Alsace (sauf le Territoire de Belfort) et une partie de la Lorraine sont devenus territoires allemands. Les deux pays signent une convention (Traité de Francfort le 10 mai 1871) autorisant la population de ces territoires à opter pour la nationalité française ou la nationalité allemande, Mais en réalité, certains n'ont pas vraiment quittés leurs maisons et peu ont choisis la nationalité allemande. Par contre ceux qui n'ont pas optés avant la date sont devenus allemandes. En 1871, suite à cette défaite française, Jean et Marie Anne ont refusé cette état de fait et ils ont quitté la Moselle pour rejoindre la France (ils ont alors optés pour la nationalité française).


LECOMTE Louis Joseph

31 déc. 2015, Aucun commentaire

Mon arrière x3-grand-père paternel, employé des chemins de fer de la Vologne (Vosges)

Ils avaient quitté leur village pour découvrir du pays et participer au triomphe de la vapeur. Certains avaient fait plus de 50kms pour trouver embauche sur une chantier. Ils étaient ouvriers agricoles, forgerons, maçons, charpentiers mais la plupart se retrouvèrent engagés comme terrassiers car c'étaient d'eux que les ingénieurs et les chefs de chantier avaient surtout besoin.
LECOMTE Louis Joseph, mon arrière-arrière-arrière-grand-père paternel habitait sur une des villes où devait passer le chemin de fer de la Vologne. Bruyères est située au coeur du massif Vosgien. Louis est né le 20 mai 1843 et grandit dans cette ville et y décèdera avant 1891.

Qu'elle est la chronologie de ce chemin de fer?
Le département des Vosges concède la ligne de chemin de fer, reliant Arches à Laveline en 1867. Un an après son mariage, âgé de 23ans, il devient donc employé des chemins de fer. Pour cette ligne l'ouverture aura lieu en 1869 pour Arches-Bruyères et en 1870 pour Bruyères-Laveline. La Compagnie portait le nom de Société Anonyme du Chemin de fer de la Vologne et vers 1870, elle devient la Compagnie du Chemin de fer des Vosges.

Les lignes concédées à cette nouvelle compagnie furent en 1873, la ligne de Laveline à St Dié avec embranchements dur Granges et sur Fraize, et en 1875 la ligne de Granges à Gérardmer. Ce réseau fut ouvert de 1869 à 1878, mon ancêtre avait alors 35ans. En 1881, l'Etat rachète la compagnie en faillite. L'exploitation est confiée à titre provisoire à la Compagnie des Chemins de fer de l'Est. en 1883, le réseau est confié à titre définitif à la Compagnie de l'Est.

Les terrassiers creusent à la pelle et à la pioche le site où sera implantée la plate-forme de la voie. La terre est changée dans des wagonnets tirés par les chevaux ou par une petite locomotive, parallèlement à la voie en construction. Ensuite, les ouvriers procède à la pose de la voie.
Les traverses de chêne (par la suite se sera de l'hêtre, le charme, l'orme, le châtaignier et le pin) sont apportées des forêts proches jusqu'au plus près du chantier par l'intermédiaire d'un train de travaux. Les hommes portent sur leur épaule, les planches de bois jusqu'au lieu précis de la pose. Les rails, d'abord en fer puis en acier à partir de 1880, se transportent jusqu'au chantier par des charrettes par des chevaux. Les ouvriers les fixent sur les traverses avec des tire-fond, c'est à dire de grosses vis.
Dernière étape, la pose du ballast (aujourd'hui du granit, du porphyre ou basalte; autrefois du sable, des graviers ou des cailloux roulés). Ces pierres concassées, sur lesquelles repose la voie, lui assurent une base solide. Elles permettent de transmettre à la plate-forme les efforts supportés par la voie. L'extraction du ballast s'effectue au plus proche du chantier, parfois sur le côté même de la voie en construction.
D'autres métiers existaient en lien avec les chemins de fer, comme le Garde de barrières, de tunnels ou de voies. Les compagnies de chemin de fer font construire dès 1843, près des passages à niveau les plus fréquentés, des maisons pour le gardien et sa famille. Sa présence permanente est nécessaire pour ouvrir de jour comme de nuit les barrières à la demande des cavaliers ou des conducteurs de véhicules, les barrières devaient rester fermées le reste du temps, même en l'absence de trains.
L'aiguilleur oriente les trains qui arrivent sur la bonne voie. Les premiers appareils d'aiguillage sont disposés en plein air et l'aiguilleur ne dispose alors que d'une cabane pour s'abriter.
Qu'es ce qui est devenu le travail de ces hommes?
Jusque dans les années 1980, existaient en saison, une train de jour et un train de nuit (avec couchettes) directe Paris-Gérardmer. Mais le 21 mars 1988 c'est la fermeture aux services voyageurs et marchandises.
A l'été 2009, un projet a été étudié sur les conditions de réouverture de la ligne.



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